mardi 9 décembre 2014

Interview_Laila_Rentzel corrigé



Introduction et justification de mon choix

Dans la cantine de l’université de Bâle j’ai rencontré Sibylle, elle tenait dans sa main son sac à dos lourd, portait comme presque toujours une écharpe colorée et il y avait sur son visage un sourire. J’ai préparé mon portable, installé le « Sprachmemo », et commençais sans grande introduction à lui poser des questions. C’est pour ça peut-être que les réponses sont très spontanées. Mais, honnêtement, c’était mon but de faire une interview, qui ressemble plus à un dialogue entre deux copines qu’une interview bien structurée et établie.
J’ai choisi Sibylle pour plusieurs raisons, une est son bilinguisme entre anglais et français. L’autre c’est qu’elle fait des études à Bâle, donc pour nous deux c’est une win-win situation de fixer le rendez-vous à Bâle même. Enfin son compte sur « facebook » m’a inspiré depuis longtemps, parce que son compte ne ressemble pas à ceux qu’on trouve normalement sur « facebook ». C’est également le thème sur lequel qu’on va discuter ensemble dans le dialogue entre nous deux.

L’interview est faite avec Sibylle Friedrich. Elle est étudiante a 23 ans, a commencé des études de français et anglais à Bâle et habite près de Lucerne. Avec elle j’ai discuté quelques points concernant les réseaux sociaux, en mettant l’accent sur le réseau social « facebook ».
Qu’est-ce que tu en penses et pourquoi t’as choisi d’ouvrir un compte?
Elle a ouvert un compte sur facebook pendant qu’elle était au lycée pour rester en contact avec des amis. En gros, elle voulait faire partie du même groupe, pour ne pas avoir le sentiment d’être exclue.
En attendant j’ai vu que tu as quitté ton compte sur « facebook », pour quelles raisons?
Ce n’est pas la première foi qu’elle désactive son compte, parce qu’elle s’est énervée du sentiment de dépendance. Elle avait toujours l’espoir d’un nouveau message, mais finalement on ne reçoit rien et perd son temps en regardant des photos. En plus elle a remarquée, quelle se promenait sur « facebook » sans intention, sans vouloir contacter personne. Donc elle a choisi de quitter le réseau, car cela prenait seulement du temps et ce temps qu’elle perdait dans ce réseau social elle voulait l’investir en d’autres activités.

Pendant mes recherches j’ai vu qu’elle avait eu un compte qui ne ressemblait pas du tout à celles comptes qu’on retrouve normalement sur « facebook ». Elle est un cas particulier, parce qu’elle a mis des vidéos et campagnes en ligne qui luttent pour l’égalité entre femme et homme, des campagnes politiques, des films qui montrent comment chaque personne pourrait contribuer à améliorer l’environnement durable. Pour cela, je lui ai posé la question suivante :
Quel était ton but ? Et est-ce que c’était efficace de transmettre telles informations et déclaration à travers le site internet ?
J’ai eu le sentiment quelle s’est réjouie de mes recherches et de mon observation. Elle a publié des sujets qui l’intéressent et qui lui tient à cœur. A son avis « facebook » est une bonne plateforme pour transmettre de telles informations, mais elle avoue que ce n’était pas une démarche active qu’elle a juste essayé de partager ses propres idées avec d’autres. Le but était de sensibiliser tout le monde, mais pas d’une manière très active.
Donc, facebook ce n’est pas seulement un medium pour partager les nouvelles photos des dernières vacances ?
Elle approuve ce dire totalement, parce qu’elle même n’a pas mis beaucoup de photos sur le site et si on trouve des photos, ils sont vieux et ne pas d’elle.
Egalement à ce point, j’aimerais faire mes remerciements à Sibylle.


Une analyse des deux expressions suivantes :

« être ado » : Sibylle mentionne cette expression tout au début de l’interview. Là, il s’agit d’une abréviation du nom « adolescent ». Pour les jeunes c’est typique, de raccourcir des expressions c’est plus efficace, économique et compréhensible.

« tenir à cœur » : Presque à la fin, Sibylle prend l’expression tenir à cœur pour dire que ce thème de propagande l’a vraiment intéressée et que c’est un souhait intensif. La référence au cœur renforce la relation et la demande.


Une explication : Le rôle de social media, notamment « facebook » dans notre ère

L’importance, la signification et les conséquences de facebook :
Aujourd'hui, vous pouvez à peine voir quelqu'un sans un smartphone ou un ordinateur portable à la main. Que ce soit dans le métro, dans les cafés ou dans le parc, presque toujours les médias et les réseaux sociaux sont présentes. Le développement rapide des technologies de l'information et des nouvelles communautés et des réseaux numériques indiquent l’impact immense sur la façon dont nous communiquons.
Dans le monde de l’internet les utilisateurs ont de nombreuses façons de communiquer. Cela comprend par exemple le chat où on peut interagir souvent de façon anonyme.
Le monde de facebook et les interactions dans le réseau social est souvent utilisé par des jeunes.
Mais la communauté en ligne de caractère et généraliste mondial, touche pas seulement les jeunes mais de plus en plus presque tous les domaines de la vie et également des personnages âgées. En outre, « facebook » avec  plus de 950 millions domine tous les réseaux sociaux. Particulier me semble le fait qu’il y a le côté privées des utilisateurs qui donnent les dates et en même temps le côté professionnel qui prennent et travaillent avec les dates pour exister. La taille des données échangées a déjà atteint une dimension inimaginable : Plus de 100 petabyte (un nombre avec 17 zéros !) d’informations sont sauvegardé dans le concerne de facebook. 
Mais quel est le but d’un réseau social comme facebook ? Un tel réseau offre la possibilité de se présenter. Une personne qui est en ligne et qui est connectée avec un profil reçoit en même temps un certain sentiment d'unité, parce que cette personne fait partie d'une grande communauté en ligne.

Beaucoup d'adolescents utilisent les réseaux sociaux, dans le cadre notamment des amis et relations. Ils veulent rester en contact, parce que ils ont quitté la ville. Avec l’augmentation des amis sur facebook l’utilisateur a le sentiment d’être aimé. Un ami dans le monde virtuel est en fait rien de plus qu'un ajoutée sur demande de la personne en général, nous ne savons même pas l'autre ; alors que ces personnes vivent parfois dans notre environnement ou fréquentent la même école que nous.


Il est également important de considérer une autre question : La protection de la vie privée. À cet égard, il y a un certain scepticisme. Facebook est ambigu : D’un côté, un outil quotidien de communication et de collecte d'informations, de l'autre une menace incontrôlée à la vie privée. Ainsi, c’est à chacun de nous de se remettre en question et de décider si nous voulons créer un compte sur facebook, comment l’utiliser et quelles informations seront révélées. Cependant, cela nécessite une certaine éducation aux médias et plus de prudence.

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