Introduction et
justification de mon choix
Dans la
cantine de l’université de Bâle j’ai rencontré Sibylle, elle tenait dans sa
main son sac à dos lourd, portait comme presque toujours une écharpe colorée et
il y avait sur son visage un sourire. J’ai préparé mon portable, installé le
« Sprachmemo », et commençais sans grande introduction à lui poser des
questions. C’est pour ça peut-être que les réponses sont très spontanées. Mais,
honnêtement, c’était mon but de faire une interview, qui ressemble plus à un dialogue
entre deux copines qu’une interview bien structurée et établie.
J’ai choisi
Sibylle pour plusieurs raisons, une est son bilinguisme entre anglais et
français. L’autre c’est qu’elle fait des études à Bâle, donc pour nous deux
c’est une win-win situation de fixer le rendez-vous à Bâle même. Enfin son
compte sur « facebook » m’a inspiré depuis longtemps, parce que son
compte ne ressemble pas à ceux qu’on trouve normalement sur « facebook ».
C’est également le thème sur lequel qu’on va discuter ensemble dans le dialogue
entre nous deux.
L’interview
est faite avec Sibylle Friedrich. Elle est étudiante a 23 ans, a commencé des
études de français et anglais à Bâle et habite près de Lucerne. Avec elle j’ai
discuté quelques points concernant les réseaux sociaux, en mettant l’accent sur
le réseau social « facebook ».
Qu’est-ce que tu en penses et pourquoi t’as
choisi d’ouvrir un compte?
Elle a
ouvert un compte sur facebook pendant qu’elle était au lycée pour rester en
contact avec des amis. En gros, elle voulait faire partie du même groupe, pour
ne pas avoir le sentiment d’être exclue.
En attendant j’ai vu que tu as quitté ton
compte sur « facebook », pour quelles raisons?
Ce n’est pas
la première foi qu’elle désactive son compte, parce qu’elle s’est énervée du
sentiment de dépendance. Elle avait toujours l’espoir d’un nouveau message,
mais finalement on ne reçoit rien et perd son temps en regardant des photos. En
plus elle a remarquée, quelle se promenait sur « facebook » sans
intention, sans vouloir contacter personne. Donc elle a choisi de quitter le
réseau, car cela prenait seulement du temps et ce temps qu’elle perdait dans ce
réseau social elle voulait l’investir en d’autres activités.
Pendant mes
recherches j’ai vu qu’elle avait eu un compte qui ne ressemblait pas du tout à
celles comptes qu’on retrouve normalement sur « facebook ». Elle est
un cas particulier, parce qu’elle a mis des vidéos et campagnes en ligne qui
luttent pour l’égalité entre femme et homme, des campagnes politiques, des
films qui montrent comment chaque personne pourrait contribuer à améliorer
l’environnement durable. Pour cela, je lui ai posé la question suivante :
Quel était ton but ? Et est-ce que
c’était efficace de transmettre telles informations et déclaration à travers le
site internet ?
J’ai eu le
sentiment quelle s’est réjouie de mes recherches et de mon observation. Elle a
publié des sujets qui l’intéressent et qui lui tient à cœur. A son avis « facebook »
est une bonne plateforme pour transmettre de telles informations, mais elle
avoue que ce n’était pas une démarche active qu’elle a juste essayé de partager
ses propres idées avec d’autres. Le but était de sensibiliser tout le monde,
mais pas d’une manière très active.
Donc, facebook ce n’est pas seulement un
medium pour partager les nouvelles photos des dernières vacances ?
Elle
approuve ce dire totalement, parce qu’elle même n’a pas mis beaucoup de photos
sur le site et si on trouve des photos, ils sont vieux et ne pas d’elle.
Egalement à
ce point, j’aimerais faire mes remerciements à Sibylle.
Une analyse des deux
expressions suivantes :
« être ado » : Sibylle mentionne cette expression tout au
début de l’interview. Là, il s’agit d’une abréviation du nom
« adolescent ». Pour les jeunes c’est typique, de raccourcir des
expressions c’est plus efficace, économique et compréhensible.
« tenir à cœur » : Presque à la fin, Sibylle prend l’expression
tenir à cœur pour dire que ce thème de propagande l’a vraiment intéressée et
que c’est un souhait intensif. La référence au cœur renforce la relation et la
demande.
Une explication :
Le rôle de social media, notamment « facebook » dans notre ère
L’importance,
la signification et les conséquences de facebook :
Aujourd'hui, vous pouvez à peine voir
quelqu'un sans un smartphone ou un ordinateur portable à la main. Que ce soit
dans le métro, dans les cafés ou dans le parc, presque toujours les médias et
les réseaux sociaux sont présentes. Le développement rapide des technologies de
l'information et des nouvelles communautés et des réseaux numériques indiquent l’impact
immense sur la façon dont nous communiquons.
Dans le monde de l’internet les
utilisateurs ont de nombreuses façons de communiquer. Cela comprend par exemple
le chat où on peut interagir souvent de façon anonyme.
Le monde de facebook et les interactions
dans le réseau social est souvent utilisé par des jeunes.
Mais la communauté en ligne de caractère et
généraliste mondial, touche pas seulement les jeunes mais de plus en plus presque
tous les domaines de la vie et également des personnages âgées. En outre, « facebook »
avec plus de 950 millions domine tous les
réseaux sociaux. Particulier me semble le fait qu’il y a le côté privées des
utilisateurs qui donnent les dates et en même temps le côté professionnel qui
prennent et travaillent avec les dates pour exister. La taille des données
échangées a déjà atteint une dimension inimaginable : Plus de 100 petabyte (un
nombre avec 17 zéros !) d’informations sont sauvegardé dans le concerne de
facebook.
Mais quel est le but d’un réseau social
comme facebook ? Un tel réseau offre la possibilité de se présenter. Une
personne qui est en ligne et qui est connectée avec un profil reçoit en même
temps un certain sentiment d'unité, parce que cette personne fait partie d'une grande
communauté en ligne.
Beaucoup d'adolescents utilisent les
réseaux sociaux, dans le cadre notamment des amis et relations. Ils veulent
rester en contact, parce que ils ont quitté la ville. Avec l’augmentation des
amis sur facebook l’utilisateur a le sentiment d’être aimé. Un ami dans le
monde virtuel est en fait rien de plus qu'un ajoutée sur demande de la personne
en général, nous ne savons même pas l'autre ; alors que ces personnes vivent
parfois dans notre environnement ou fréquentent la même école que nous.
Il est également important de considérer
une autre question : La protection de la vie privée. À cet égard, il y a
un certain scepticisme. Facebook est ambigu : D’un côté, un outil
quotidien de communication et de collecte d'informations, de l'autre une menace
incontrôlée à la vie privée. Ainsi, c’est à chacun de nous de se remettre en
question et de décider si nous voulons créer un compte sur facebook, comment l’utiliser
et quelles informations seront révélées. Cependant, cela nécessite une certaine
éducation aux médias et plus de prudence.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire