jeudi 9 octobre 2014

Chapitre 59 à 63 - Anna


Je m’occupe des derniers cinq chapitres de l’œuvre « Le grand cahier» de Agota Kristof. Le chapitre La maladie de Grand-Mère raconte la situation que la grand-mère des jumeaux, qui est normalement très dure et qui fait l’impression d’être sans cœur, eut une attaque d’apoplexie. Et avec cette maladie le contact, la relation entre les petits-fils et la grand-mère change : La grand-mère commence de sentir qu’elle soit dépendante des jumeaux. Cette dépendance se montre par exemple là où la grand-mère demande de l’aider à se lever. Dans le chapitre Le trésor de Grand-Mère il y a la premier fois la grand-mère, qui montre sa côté faible en demandant, presqu’en suppliant  de la tuer si elle chopera à nouveau une attaque. Ainsi on sent en lisant que la grand-mère se rentre compte qu’elle n’aura plus la force de se remettre. Tout cette situation se déroule pendant la grand-mère dessine un plan sur lequel il y a le trésor caché.  Le chapitre Notre père raconte de l’arrivée du père des jumeaux. Cette situation se déroule dans le jardin de la grand-mère. Le père était prisonnier de guerre ainsi il n’eut pas pu vivre avec sa famille. En lisant on sent fortement la relation familière entre la grand-mère et son gendre qui semble d’être une très négative. Pendant les quatre personnes discutent sur l’avenir des squelettes de la mère et de la petite sœur des jumeaux on sent bien la contraste émotionnelle entre la cruauté froide de la grand-mère et les sentiments humains  du père. Aussi les jumeaux se comptent froidement en niveau des émotions. Mais pour ce comportement ils se furent beaucoup entrainés d’endurcissement. Le prochain chapitre Notre Père revient raconte du retour du père après quelques années sans contact. Dans l’intervalle la grand-mère mourut. Le père prie les jumeaux de lui aider à traverser la frontière. Après la discussion sur les  dangers, ils se couchent. Le lendemain matin ils partent. Mais ils ne sont pas capable de traverser la frontière ensemble : « …il y a un moyen de traverser la frontière : c’est faire passer quelqu’un devant soi. » Ainsi un jumeau suit le père, l’autre reste dans le pays. Les jumeaux se séparent dans ce dernier chapitre qui s’appelle La séparation.
Les derniers deux phrases du livre Le grand cahier sont les seuls où Agota Kristof laisse les jumeaux parler/penser chacun pour soi. Ainsi moi comme lectrice, je comprends que je lisais tout le livre sans réaliser que les jumeaux parlaient toujours ensemble. Il devient claire que les jumeaux agissaient continûment ensemble. Peut-être grâce à cette collaboration, ils survivaient pendant cette période de guerre difficile et dangereuse.

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