Je m’occupe des derniers cinq chapitres de
l’œuvre « Le grand cahier» de Agota Kristof. Le chapitre La maladie de Grand-Mère raconte la
situation que la grand-mère des jumeaux, qui est normalement très dure et qui
fait l’impression d’être sans cœur, eut une attaque d’apoplexie. Et avec cette
maladie le contact, la relation entre les petits-fils et la grand-mère
change : La grand-mère commence de sentir qu’elle soit dépendante des
jumeaux. Cette dépendance se montre par exemple là où la grand-mère demande de
l’aider à se lever. Dans le chapitre Le
trésor de Grand-Mère il y a la premier fois la grand-mère, qui montre sa
côté faible en demandant, presqu’en suppliant de la tuer si elle chopera à nouveau une attaque. Ainsi on
sent en lisant que la grand-mère se rentre compte qu’elle n’aura plus la force
de se remettre. Tout cette situation se déroule pendant la grand-mère dessine
un plan sur lequel il y a le trésor caché. Le chapitre Notre père
raconte de l’arrivée du père des jumeaux. Cette situation se déroule dans
le jardin de la grand-mère. Le père était prisonnier de guerre ainsi il n’eut
pas pu vivre avec sa famille. En lisant on sent fortement la relation familière
entre la grand-mère et son gendre qui semble d’être une très négative. Pendant
les quatre personnes discutent sur l’avenir des squelettes de la mère et de la
petite sœur des jumeaux on sent bien la contraste émotionnelle entre la cruauté
froide de la grand-mère et les sentiments humains du père. Aussi les jumeaux se comptent froidement en niveau
des émotions. Mais pour ce comportement ils se furent beaucoup entrainés
d’endurcissement. Le prochain chapitre Notre
Père revient raconte du retour du père après quelques années sans contact.
Dans l’intervalle la grand-mère mourut. Le père prie les jumeaux de lui aider à
traverser la frontière. Après la discussion sur les dangers, ils se couchent. Le lendemain matin ils partent.
Mais ils ne sont pas capable de traverser la frontière ensemble :
« …il y a un moyen de traverser la frontière : c’est faire passer
quelqu’un devant soi. » Ainsi un jumeau suit le père, l’autre reste dans
le pays. Les jumeaux se séparent dans ce dernier chapitre qui s’appelle La séparation.
Les derniers deux phrases du livre Le grand cahier sont les seuls où Agota
Kristof laisse les jumeaux parler/penser chacun pour soi. Ainsi moi comme lectrice,
je comprends que je lisais tout le livre sans réaliser que les jumeaux
parlaient toujours ensemble. Il devient claire que les jumeaux agissaient
continûment ensemble. Peut-être grâce à cette collaboration, ils survivaient
pendant cette période de guerre difficile et dangereuse.
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